Les familles des disparus lors des attentats de Bruxelles recherchent intensivement leurs proches.
Après les attentats de Bruxelles, les premières victimes commencent à être identifiées. En parallèle, des affiches pour retrouver les disparus prolifèrent à Bruxelles. L'angoisse est terrible pour les familles, qui font le tour des hôpitaux. "Je cherche la tante de mon épouse, qui est polonaise, et depuis hier, on n'a plus de nouvelles et on est presque sûr qu'elle était dans le métro", indique un homme.
La recherche aboutie parfois
Une cellule d'accueil des proches a été ouverte à l'hôpital militaire depuis mercredi 23 mars. Elle est composée de psychologues, de militaires et de représentants du parquet. Le but : soutenir les familles et recueillir les plus d'informations possibles pour mieux identifier les blessés et les victimes. Pour les proches, l'attente est insoutenable et ils n'hésitent pas à solliciter les médias. "Il s'appelle Yves, il a 27 ans, père de deux enfants, il est de corpulence forte, il est noir et on espère avoir de ses nouvelles", lance un homme désespéré. Parfois la recherche aboutie, selon La libre Belgique, Karen Northshield a été retrouvée par ses proches, vivante, mais gravement blessée.
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