Nucléaire : nouveau et coûteux retard pour l'EPR de Flammanville
Depuis les défauts constatés sur le couvercle de la cuve au printemps, une procédure technique est engagée entre Areva et l'Autorité de sûreté nucléaire française afin de garantir que l'acier utilisé pour sa fabrication est bien capable de supporter la pression d'une réaction nucléaire. Les soupapes du réacteur posent également question.
Retard d'un an
Une mise en service comme prévu en 2017 semblait donc difficile à tenir, sans compter les difficultés financières rencontrées par Areva. Selon Le Figaro, le calendrier tablerait plutôt sur une mise en route en 2018, alors qu'au départ le réacteur devait produire en 2012.
Ces défauts de fabrication coûtent cher aussi : 10 milliards d'euros au total. On est donc bien loin des trois milliards et demi prévus au départ.
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