Retrouvez ici l'intégralité de notre live #SIVENS
20h42 : Bonsoir @lolitonc rct. Quand je vous explique que la ZAD de Sivens (Tarn) a été évacuée, il faut comprendre "zone à défendre". C'est le terme utilisé par les militants pour désigner les zones qu'ils occupent, afin de protester contre des projets qu'ils considèrent non-écologistes. C'était le cas à Sivens pour un barrage contesté, c'est vrai aussi en Isère pour un Center Parcs ou dans le Lot-et-Garonne pour une future zone industrielle.
20h42 : Bonsoir une précision que signifie ZAD ? merci
19h07 : Bonsoir @anonyme ! Au total, 21 personnes ont été interpellées par les gendarmes, lors de l'évacuation de la ZAD installée sur le site du barrage contesté de Sivens (Tarn). Selon le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, ces individus ont été arrêtés "pour des faits de violence ou pour attroupement interdit après sommation".
19h07 : Bonsoir quels étaient les motifs exacts des interpellations lors de l'évacuation de la ZAD de Sivens ?
16h49 : France Nature Environnement, la grande fédération associative à laquelle appartenait Rémi Fraisse, déplore que le conseil général du Tarn ait voté le maintien d'une retenue, un projet "presque aussi incongru" que le projet initial. L'association prône une alternative sans construction nouvelle.
16h35 : Après l'évacuation, les forces de l'ordre font le ménage au milieu des tipis et des cabanes, rapporte notre envoyé spécial Ilan Caro.
16h15 : Au rsa, on a 150€ par mois pour bouffer.Sur une zad, le partage permet de survivre pour moins.
16h15 : De quoi vivent-ils ? Certains travaillent dans l'informatique (internet, travail a distance, vous connaissez ?)
16h15 : @anonyme : Comme le laisse entendre le reportage que je vous ai proposé, où l'on rencontre un cuisinier, un étudiant ou encore une infirmière, les "zadistes" ne sont pas tous chômeurs. Peut-être trouverez-vous davantage votre bonheur dans ce reportage de notre journaliste Clément Parrot sur le site de la Zad d'Agen, où un occupant assume le fait de toucher le RSA.
16h15 : Votre reportage ne répond pas a la question posée par un lecteur. De quoi vivent ces personnes ? Sont-ils tous chômeurs ?
16h45 : "Des dispositions réglementaires ont été prises pour que la zone évacuée le demeure dans l'avenir."
Des forces de gendarmerie vont rester sur le site du barrage contesté de Sivens pour éviter toute nouvelle occupation par les opposants au projet de barrage.
16h08 : Bernard Cazeneuve annonce que 21 interpellations ont eu lieu lors de l'évacuation du site de Sivens.
16h07 : "Les principes du droit et de la République l'ont emporté."
Après l'évacuation du site de Sivens (Tarn), Bernard Cazeneuve "remercie tous ceux qui ont contribué à cette issue responsable".
15h04 : @papy 64 @anonyme : Vous êtes nombreux à nous poser cette question. Pour en savoir plus sur le sujet, je vous invite à (re)lire le reportage publié, en octobre, par notre journaliste Fabien Magnenou, qui s'était rendu sur place.
15h04 : Mais ils travaillent pas ces gens là ?
15h04 : De quoi subsistent tous ces campeurs depuis 18 mois ? Je n'ai jamais eu des vacances aussi longues. Des Bran......s.
15h56 : Les "zadistes" qui occupaient le site du barrage controversé ont été délogés par les forces de l'ordre, après un peu plus de deux heures d'opération. Aucun blessé n'est à déplorer, selon la police. Vous pouvez continuer à suivre l'évolution de la situation dans notre direct.
15h26 : Les gendarmes ont mis fin à l'occupation du site de Sivens (Tarn) et 12 personnes ont été placées en garde à vue, indique l'AFP.
14h51 : Vingt-cinq opposants ont été évacués par la force et une demi-douzaine ont été interpellés. "La plupart [des zadistes] ont quitté les lieux tranquillement, estime un porte-parole de la gendarmerie. Il reste quelques récalcitrants." Notre envoyé spécial Ilan Caro est sur place, tout comme un journaliste de France 3.
14h30 : "Aucune action contre la démocratie ne pourrait être tolérée."
Manuel Valls promet une "réponse extrêmement déterminée, extrêmement ferme de l'Etat" à l'encontre de ceux qui s'opposeraient "à la légitimité des élus" du Tarn, en refusant de quitter le site du projet du barrage de Sivens. "Les occupants illégaux doivent à présent quitter les lieux", martèle-t-il.
14h25 : Les gendarmes tentent d'évacuer par la force des zadistes récalcitrants.
14h58 : France 3 Midi-Pyrénées vient de publier un diaporama sur l'intervention des gendarmes sur le site du barrage controversé du Tarn. "Nous sommes ici pour vous évacuer en application d'ordonnances de justice", a lancé un gendarme aux zadistes.

(S. DUCHAMPT / FRANCE 3)
14h02 : Manuel Valls promet "une réponse extrêmement ferme de l'Etat" face aux éventuels récalcitrants à l'évacuation du site.
13h30 : "On ne partira pas."
Lors d'un point-presse improvisé après l'entrée des gendarmes sur le site, des zadistes annoncent leur intention de "se cacher dans le bois". D'autres occupants du site du Tarn font état de plusieurs interpellations lors d'une première charge des forces de l'ordre.
13h25 : Ils vont pouvoir venir en renfort à Roybon !!
13h25 : Ce serait quand même bien que le gouvernement fasse enfin son boulot : expulser des gens qui n'ont rien à faire sur le site de Sivens. Laisser pourrir une situation ne fait pas une politique !
13h25 : Ce n'est pas trop tot !!
13h25 : Notre envoyé spécial Ilan Caro était au conseil général du Tarn, ce matin. Dans cet article, il vous explique le flou qui règne autour du nouveau projet de retenue d'eau. Dans les commentaires, vous réagissez diversement à l'ordre d'expulsion des zadistes.
(REMY GABALDA / AFP)
13h04 : L'évacuation des zadistes a été ordonnée par le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, indique le site du Monde. Une équipe de France 3 Midi-Pyrénées est sur place et rapporte que les derniers occupants du site se sont regroupés au moment de l'intervention des gendarmes. Voici une photo de la scène.
(MYRIAM BRISSE / FRANCE 3)
12h32 : Les gendarmes postés autour du site de Sivens sont entrés sur le site, à la rencontre des zadistes opposés au projet de barrage, en vue de les expulser. Le conseil général du Tarn a exigé l'expulsion sans délai des occupants du site.
12h27 : Les gendarmes entrent sur le site pour évacuer les zadistes.
12h25 : Dans un communiqué, la FNSEA, syndicat agricole majoritaire, "salue le courage de l'assemblée départementale" et se félicite d'un "retour à la légalité" après la décision du conseil général du Tarn.
12h22 : Une partie de la quarantaine de zadistes occupant le site de Sivens ont quitté le site depuis ce matin et d'autre replient leurs tentes, indique une journaliste de l'AFP. La préfecture fait état de discussion avec le collectif des zadistes, en vue d'une évacuation générale du site sans violence.
11h56 : Notre envoyé spécial Ilan Caro précise qu'il s'agit d'une "résolution" et non d'une "décision" du conseil général (qui aurait, elle, des conséquences juridiques immédiates). Il pourrait donc s'écouler deux ans et demi avant que les experts ne statuent et que les travaux ne commencent.
11h40 : Le Conseil Général du Tarn a pris une décision inhique basée sur des rapports incomplets (c'est d'ailleurs ce que dit l'UE). Cette situation est d'abord de leur faute.
11h39 : Le Président du CG rappelle le devoir de l'Etat en exigeant l'expulsion des occupants sans droit ni titre.Mais il y a t il encore un État ?
11h39 : Notre planète est déjà en danger !!!Arrêtons les dégâts !!!
11h38 : A quel moment les zadistes se sont engagés à respecter la future décision du conseil général du Tarn ? Quel valeur cela-t-il a leur yeux ?
11h38 : Ce gouvernement n'a pas une once d'autorité et laisse pourrir une situation au mépris de la loi . Un scandale !
11h41 : Vous êtes partagés au sujet des zadistes présents sur le site du barrage de Sivens, et que le conseil général du Tarn demande de déloger.
11h17 : Le conseil général du Tarn opte pour le projet alternatif d'un barrage réduit et exige "l'expulsion sans délai" des zadistes.