Pékin attire toujours plus de migrants des zones rurales. Petites mains de la machine économique chinoise, attirées par le travail. Mais la vie dans la capitale est souvent dure, et ces nouveaux venus n'ont parfois d'autre abri que les sous-sols.
Ils la voyaient pas comme ça leur vie, entassés dans des sous-sols qui leur servent de logement. Dans 5.000 abris de défense anti-aérienne, sans fenêtre ni confort, vivent ceux qu'on appelle «la tribu des rats». Ils seraient un million à Pékin.
Ces abris, souvenirs de la Guerre froide avec l'URSS, se louent autour de 120 euros pour une pièce de 20 m². A ce prix, il n'y a ni sanitaires ni salle de bain. Et la cuisine est commune.
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