Le Cavaliere se sent "libéré ", au lendemain de l'annonce de sa démission prochaine. Silvio Berlusconi a annoncé hier qu'il quitterait le pouvoir après l'adoption des réformes promises à l'Union européenne.Et ce matin, le président du Conseil italien assure qu'il ne voit pas d'autre alternative que l'organisation d'élections législatives anticipées, rappelant également son opposition à l'instauration d'un gouvernement detransition."Je ne me représenterai pas, et même, je me sens libéré ", a affirmé Silvio Berlusconi, 75 ans. Il souhaite semble-t-il remettre le flambeau à sondauphin, Angelino Alfano à qui il a déjà confié les rênes de son particomme secrétaire général du Peuple de la Liberté (PDL, centre-droit).Silvio Berlusconi s'est également engagé à nouveau ce matin à mener à bien les réformes économiques réclamées par l'Union européenne avant de démissionner.