Etats-Unis : une fausse alerte à la bombe crée la panique à Harvard
La police avait alerté sur la présence d'explosifs. L'alerte a été levée quelques heures plus tard.
Panique à Harvard. Une fausse alerte à la bombe a semé le désordre, lundi 16 décembre dans la matinée, sur le campus de la prestigieuse université, située près de Boston, dans le nord-est des Etats-Unis. Au total, quatre bâtiments ont été évacués, de nombreux examens reportés et des équipes de policiers déployées.
Au bout de six heures, l'alerte a été levée, comme le précise l'université sur son compte Twitter (en anglais). L'établissement a également précisé que tous les examens programmés lundi, à l'exception de trois d'entre eux, auraient lieu dans l'après-midi. Deux épreuves ont été programmées ailleurs sur le campus.
Mesure de précaution
Peu après 9 heures (locales), la police de la ville de Cambridge (Massachusetts) avait indiqué avoir reçu des informations selon lesquelles des explosifs auraient été placés dans plusieurs bâtiments de l'université (Science Center, Thayer, Sever, et Emerson).
"Par mesure de précaution, les bâtiments ont été évacués pour les besoins de l'enquête. La priorité de Harvard est la sécurité de nos étudiants, de ses facultés et de notre personnel", précisait un texte publié sur le site internet (lien en anglais) du complexe universitaire.
Fin novembre, le campus d'une autre prestigieuse université américaine, celle de Yale (Connecticut), avait été fermé pendant une journée : un homme armé avait été signalé sur les lieux.
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