Le ralentissement de la demande, alimenté par une grave crise du tourisme, fait craindre aux rares artisans qui exercent encore le métier de le voir disparaître. Le nombre exact d'artisans reste difficile à estimer dans ce secteur largement informel. Dans la rue "Al-Khayamiya", il est passé de 60 à environ 20 dans les années 1980. Une tendance encore à la baisse depuis 2011, selon la Chambre de l'artisanat. Outre la crise du tourisme, le métier souffre du manque d'intérêt des jeunes, souvent en quête de professions plus modernes et lucratives.