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LA PHOTO. Nigeria: le Durbar, festival équestre bigarré, orgueil des Haoussas

Avec le Durbar, l'ethnie musulmane haoussa commémore l'époque où il fallait protéger de ses ennemis l'émirat du nord. Le Nigeria post-colonial a conservé dans ses provinces des chefs traditionnels qui, même s'ils n'ont aucun pouvoir légal, inspirent respect et loyauté. Devant l'émir, défilent ainsi des milliers de cavaliers parés de couleurs et d'argent sur des chevaux tout aussi chatoyants.
Article rédigé par Véronique le Jeune
France Télévisions
Publié Mis à jour
Cette parade est organisée deux fois par an dans les grandes villes du nord du Nigeria. Une première fois lors de la fin du ramadan. Une seconde au cours de la célébration de l'Aïd al-Adha, la plus importante fête de l'islam, appelée aussi la «fête du sacrifice», au moment du pèlerinage à La Mecque. (Akintunde Akinleye / REUTERS)

Evocations militaires hautes en couleur lors du Durbar de Kano. Cette parade est organisée deux fois par an dans les grandes villes du nord du Nigeria. Une première fois lors de la fin du ramadan. Une seconde au cours de la célébration de l'Aïd al-Adha, la plus importante fête de l'islam, appelée aussi la «fête du sacrifice», au moment du pèlerinage à La Mecque.

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