D'autres soldats sont impliqués dans l'affaire dans laquelle certains Français sont accusés d'avoir violé des enfants en Centrafrique contre de la nourriture. "Le même rapport de l'Onu fait état de viols commis par trois soldats tchadiens et deux soldats de la Guinée-Equatoriale, ce qui renforce l'inquiétude sur l'impact négatif sur le terrain en Centrafrique", rapporte Valérie Astruc, journaliste de France 2 en direct de New York.Des représailles de la populationIl y a 8 000 soldats de l'Onu actuellement en Centrafrique, dont 2 000 soldats français. "On craint les réactions de colère des autorités locales, mais aussi d'éventuelles représailles de la part de la population. Le procureur de Bangui a regretté ne pas avoir été informé de ces diverses enquêtes sur place. Ça tombe d'autant plus mal que la situation est en voie de normalisation", conclut la journaliste.