: Vidéo A Kaboul, des femmes sont abandonnées dans l’indifférence générale
Elles sont veuves, violées ou répudiées et n’ont pas d’autre choix que de mendier pour survivre dans la capitale afghane.
Kaboul (Afghanistan) n’est pas une ville comme les autres. Cela fait trente ans qu’elle ne connaît pas la paix : guerre contre les soviétiques, guerre civile, terrorisme. Depuis le renversement du régime des talibans en 2011, la ville est encerclée par les rebelles islamistes. Si elle tombe entre leurs mains, tous les espoirs occidentaux de démocratie seront définitivement balayés.
Les journalistes Grégoire Deniau et Guillaume Martin se sont rendus dans la capitale afghane pour tenter de comprendre comment les forces armées tentent de faire face à l’insécurité, le fléau majeur qui menace quotidiennement les six millions d’habitants de Kaboul. Leur reportage est diffusé, mercredi 28 janvier à 20h45, dans la série "Villes violentes" sur France Ô.
Cet extrait met aussi en évidence les tiraillements de la société afghane entre une envie de modernité et une tradition toujours ancrée, notamment concernant le statut des femmes, dont les droits sont encore trop souvent bafoués. Veuves, violées, jugées ou répudiées, des femmes sont abandonnées dans l’indifférence générale, et n’ont d’autre choix que de mendier pour survivre.
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