Encore 12 départements en alerte aux orages et deux à la canicule
Les maximales atteindront 35 à 36 degrés sur le Rhône et l'Isère. Le pic de chaleur est attendu samedi.
Ils ne sont plus que 12 départements à être placés en alerte orange aux orages, vendredi 26 juillet. Il s'agit des huit départements d'Ile-de-France, ainsi que de l'Eure-et-Loire, du Loiret, de l'Oise et de l'Aisne. Le Rhône et l'Isère sont eux toujours placés en alerte orange canicule. Le bulletin est valable jusqu'au samedi 27 juillet, 6 heures.
Violents orages sur l'Ile-de-France, l'Orléanais et la Picardie
De violentes rafales de vent ont été observées dans la nuit de jeudi à vendredi : 97 km/h à Saint-Emilion (Gironde), 100 km/h à Saint-Sulpice (Gironde), 115 km/h à Saint-Martial (Gironde) et, plus au Nord, 89 km/h à Blois (Loir-et-Cher). Au niveau précipitations, 49 mm ont été mesurés localement dans les Landes, selon Météo France.
Ces orages, localement violents, se déplacent à présent vers l'Orléanais, l'Ile-de-France et l'est de la Picardie. Ils s'accompagnent de fortes averses de pluie, avec parfois jusqu'à 50 mm de précipitations sur de très courtes périodes. Des rafales de vent de l'ordre de 80 à 100km/h, de la grêle et une forte activité électrique sont également à prévoir. Les orages s'évacueront par la Belgique en perdant de l'activité vendredi autour de la mi-journée.
Canicule : températures en hausse sur le Rhône et l'Isère
Sur le front de la canicule, les températures sous abri vont continuer de monter dans le Rhône et l'Isère. Vendredi matin, les minimales se situent autour de 20 degrés. Dans l'après-midi, les maximales atteindront 35 à 36 degrés. Le pic de chaleur devrait être atteint dans la journée de samedi.
Dans une moindre mesure, sur les 28 départements en vigilance jaune (sud-ouest, sud-est et nord-est), les températures resteront stationnaires ou seront en légère hausse, conclut Météo France.
Anaïs Baydemir, journaliste météo à la rédaction de France 2, revient sur ce risque de canicule.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.