Médicament contre l'acné : une cause de suicide ?

Ni victimes ni dommages. Le personnel de la centrale de Fukushima avait été évacué.

Une arnaque à plus de 20 millions d'euros. C'est ce qu'aurait empoché une marchande d'art new-yorkaise en vendant de fausses toiles de Mark Rothko, Jackson Pollock et autres peintres du XXe siècle. La tromperie aurait fonctionné durant 15 ans. Ceci grâce au talent d'un faussaire d'origine chinoise.

Elle encourt 99 ans de prison. Glarifa Rosales, une marchande d'art qui a réussi a écouler 63 fausses toiles en 15 ans à New York. Une arnaque qui lui a rapporté 30 millions de dollars. C'est dans ce quartier du Queens qu'elle avait décide de s'installer en compagnie d'un peintre. Le voisinage n'a jamais rien su.

Ils ne parlaientjamais aux voisins. Comme s'il n'y avait personne dans cette maison.

Derrière la maison, le garage ou plutôt l'atelier du peintre. Pei-Shen Quian, un immigré chinois de 73 ans. Pendant 15 ans, il réplique à l'identique les oeuvres des plus grands artistes contemporains américains.

Il sortait pieds nus dans la rue, il regardait le ciel, les étoiles.

Un artiste de l'ombre qui ne touche que 8.000 euros par toile. Glarifa Rosales fait fructifier son talent en revandant ses faux au prix du vrai à la plus grande galerie de Manhattan. Un jour, un acheteur découvre la supercherie. Le FBI débarque et fait fermer la galerie. Glarifa Rosales est inculpee pour fraude fiscale et blanchiment.