JO de Paris 2024 : zoom sur les produits qui nourriront les athlètes durant la compétition

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Du champ aux assiettes des athlètes, mardi 25 juin, quelques unes des 500 recettes qui nourriront les sportifs de Paris 2024 ont été testées par des cobayes. France Télévisions est allé à la rencontre d'éleveurs et de maraîchers impatients de faire connaître leurs produits.
JO de Paris 2024 : zoom sur les produits qui nourriront les athlètes durant la compétition Du champ aux assiettes des athlètes, mardi 25 juin, quelques unes des 500 recettes qui nourriront les sportifs de Paris 2024 ont été testées par des cobayes. France Télévisions est allé à la rencontre d'éleveurs et de maraîchers impatients de faire connaître leurs produits. (France 2)
Article rédigé par France 2 - J. Ababsa, E. Teiton, L. Marques, G. Liaboeuf, Images aériennes : Gloria Maris
France Télévisions
Du champ aux assiettes des athlètes, mardi 25 juin, quelques unes des 500 recettes qui nourriront les sportifs de Paris 2024 ont été testées par des cobayes. France Télévisions est allé à la rencontre d'éleveurs et de maraîchers impatients de faire connaître leurs produits.

C'est le premier coup de feu avant les JO de Paris. Quelques semaines avant les athlètes, 200 invités cobayes ont testé, mardi 25 juin, les recettes olympiques. Jusqu'à 40 000 repas seront servis dans ce réfectoire chaque jour durant la compétition. 600 tonnes de marchandises seront nécessaires. Mises bout à bout, les carottes atteignent les 50 kilomètres, plus que la distance d'un marathon olympique.

500 recettes différentes pour les athlètes

Ce défit d'approvisionnement mobilise une centaine de producteurs français. C'est le cas de Bastien Riera, qui dirige une immense ferme d'élevage dans le golfe d'Ajaccio, en Corse. Ses poissons grandissent dans une cinquantaine d'enclos, dont des "dorades royales, qui vont être livrées sur les Jeux olympiques", explique-t-il. Mais la fierté est peut-être l'un des seuls bénéfices de l'opération JO pour l'entreprise. Car les poissons ont été achetés beaucoup moins chers que d'habitude. Bastien Riera espère un coup de projecteur sur sa production. Au total, 500 recettes différentes seront élaborées à partir de ces produits.

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