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JO 2021 : le relais de la flamme olympique annulé sur la voie publique à Tokyo

Une cérémonie d'allumage de la flamme aura toutefois lieu à huis clos.  

Article rédigé par franceinfo: sport
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1 min
Le relais de la flamme olympique a été supprimé sur les voies publiques de Tokyo, ont annoncé les autorités le 7 juillet 2021. (CHARLY TRIBALLEAU / AFP)

Le relais de la flamme olympique débutera vendredi 9 juillet à Tokyo, a confirmé la municipalité, précisant qu'en raison de la pandémie de Covid-19, tous les tronçons qui devaient se dérouler sur la voie publique entre le 9 et le 23 juillet, date d'ouverture des Jeux, "ont été annulés, à l'exception de zones insulaires isolées".

Toutefois, "une cérémonie d'allumage de la flamme sera organisée sans spectateurs" vendredi à différents endroits, ajoute les autorités municipales dans un communiqué. Déjà, mardi 6 juillet, les organisateurs des JO et des autorités locales japonaises ont demandé au public de "s'abstenir" d'assister au marathon et aux épreuves de marche à Sapporo (nord du Japon).

Le huis clos sur les sites de compétition toujours une option

Le gouvernement japonais doit décider, en principe jeudi 8 juillet, s'il prolonge des restrictions sanitaires à Tokyo et dans d'autres départements, ce qui pourrait avoir un impact sur la présence ou non - et dans quelle limite - de spectateurs sur les sites olympiques. Une réunion des autres parties prenantes incluant le Comité international olympique et celui de Tokyo 2020 est également attendue jeudi, selon des médias, et la question des spectateurs devrait dominer les discussions.

Dès mars 2021, les organisateurs avaient pris la décision sans précédent d'interdire les spectateurs venant de l'étranger. En juin, ils avaient autorisé la présence de spectateurs locaux, mais à 50 % des capacités d'accueil de chaque site et dans une limite maximale de 10 000 personnes.

Le 2 juillet, la présidente du comité d'organisation, Seiko Hashimoto, avait déclaré que le huis clos sur les sites de compétition restait "une option" au lendemain d'inquiétudes exprimées par le Premier ministre japonais Yoshihide Suga devant la recrudescence des cas de Covid-19 dans la capitale.

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