Paris 2024 : grande première pour le breaking

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Grande première pour le breaking
Article rédigé par franceinfo - N. Poitevin, C. Meral, A. Tribouart, J. Cohen-Olivieri
France Télévisions
Première olympique pour le breaking. La danse issue de la culture hip-hop a fait ses débuts à Paris avec l’épreuve féminine.

Trois coups frappés par Snoop Dogg. Qui de mieux pour ouvrir le bal que cette figure américaine du hip-hop dans lequel le breaking trouve ses racines. Sur scène, une des premières à s’élancer est Syssy, l’une des deux Françaises qualifiées pour ces Jeux olympiques de Paris 2024. Le principe : un duel entre deux danseuses. Elles ne connaissent pas la musique, il fait enchaîner les figures acrobatiques. 
Dans les gradins, l’engouement est au rendez-vous "C’est impressionnant, je ne pourrais pas le faire", avoue un spectateur.

De la technique et de la liberté


Des prestations notées par neuf juges attentifs à la technique, à la diversité des figures et à la créativité. Parmi les mouvements récurrents, le "Footwork", ou le danseur se soutient avec les mains pendant qu’il joue avec ses jambes. Autre figure incontournable, le « Freeze » : le temps d’un instant le corps se fige en équilibre. 
Pour cette autre Française, il n’y aura pas de podium mais beaucoup de fierté. "C’est une super reconnaissance pour la discipline", confie Senorita Carlota
S’exprimer en toute liberté. Sur la cape d’une athlète afghane, trois mots "Free Afghan Women", en Français, "Libérez les femmes afghanes": le message est passé.

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