JO de Paris 2024 : "Les Jeux n'ont rien enlevé à la culture hip-hop, ils l'ont juste enrichie", se réjouit le référent breaking de la fédération de danse

La compétition de breaking débute vendredi place de la Concorde à Paris avec les 33 meilleurs danseurs et danseuses planétaires, qui espèrent tous décrocher la première médaille d'or de l'histoire de la discipline aux JO.
Article rédigé par franceinfo
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Le breaking fera sa première entrée comme sport olympique aux Jeux olympiques de Paris 2024. Photo d'illustration. (ALEXANDRE MARCHI / MAXPPP)

"On est très fier de voir nos représentants concourir pour la France", confie vendredi 9 août sur franceinfo Tony Bonnet, référent breaking au sein de la Fédération française de danse, alors que l'épreuve féminine doit débuter vendredi après-midi.

Ce sport, qui mélange danse urbaine et mouvements acrobatiques sur fond de hip-hop, est une nouvelle discipline olympique. Pour Tony Bonnet, c'est comme "une entrée dans la cour des grands", même si le breaking "a réussi depuis plusieurs années à s'installer un peu partout sur le territoire". "On se rend bien compte qu'on passe une étape de plus", ajoute-t-il.

Tony Bonnet explique par ailleurs comment vont se dérouler les épreuves féminine et masculine : "Ça va s'affronter en un contre un, face à un jury qui se basera sur des critères", précise le référent breaking au sein de la Fédération française de danse. Il soutient que "les Jeux n'ont rien enlevé à la culture hip-hop, il l'ont juste enrichie".

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