Invitée : Emmanuelle Seigner : "Distant Lover", 3e album
Son côté rebelle lui permet de choisir les rôles qu'elle veut jouer Une liberté qu'elle retrouve dans la musique, son autre passion. Pour preuve, ce 3e album très rock. Voici maintenant l'invitée des Cinq Dernières Minutes. Cette invitée, c'est Emmanuelle Seigner. Bonjour et merci d'être avec nous. Vous sortez votre troisième album. La musique tient aujourd'hui une place capitale dans votre vie.
Emmanuelle Seigner : J'aime beaucoup ça, la scène surtout. J'aime aussi beaucoup être actrice.
Sophie Le Saint : En fait, vous rêviez de faire de la musique, même peut-être plus que du cinéma.
Emmanuelle Seigner : Ado, j'étais fascinée par le rock. C'était un rêve lointain.
Sophie Le Saint : Vous écoutiez quoi.
Emmanuelle Seigner : Enfant, j'écoutais la chanson française. Ma famille écoutait Brassens. Ensuite j'ai découvert Lou Reed.
Sophie Le Saint : Vous rendez hommage à Lou Reed, votre idole. Vous aviez d'ailleurs eu la chance de le rencontrer.
Emmanuelle Seigner : J'ai eu la chance d'interpréter le personnage de Carolyn dans l'un de ses disques.
Emmanuelle Seigner : Cette chanson, je l'avais depuis six mois. Le joru où je suis arrivée à New York, Lou Reed est mort.
Sophie Le Saint : Il y a aussi des ballades, deux styles différents, dans lesquels vous semblez très à l'aise.
Sophie Le Saint : On écoute un extrait de votre disque.
Sophie Le Saint : qu'est-ce que vous ressentez en voyant ces images.
Emmanuelle Seigner : Ça m'amuse.
Emmanuelle Seigner : Parce que je trouve que l'anglais correspond a ma musique. Ça marche mieux avec le rock, le rock que j'ai envie de faire.
Sophie Le Saint : Que vous apporte la musique par rapport à votre métier d'actrice ? Une plus grande liberté.
Emmanuelle Seigner : Ça me donne beaucoiup de plaisir et beaucoup de liberté. Quand je suis actrice je ne décide de rien. C'est difficile pour moi. Je sais que des acteurs le vivent très bien mais pas moi. C'est difficile de ne pas avoir le contrôle de l'objet final.
Sophie Le Saint : vous parliez de la scène. LA 1re fois où vous étiez sur scène vous avez eu le trac.
Emmanuelle Seigner : Oui, la première fois à Arles, j'ai eu le trac. C'était beau, c'était fort. Vous allez repartir en tournée.
Sophie Le Saint : On vous a vue récemment dans "La Vénus à la fourrure" de Polanski. Un film pour lequel votre mari a reçu le César du meilleur réalisateur. Qu'avez-vous ressenti quand il a reçu ce prix.
Emmanuelle Seigner : J'étais très heureuse pour lui. Il a quand même oublié de remercier ses acteur, je lui ai dit plsu tard.
C'est mon grand rôle pour le moment.
Sophie Le Saint : C'est difficile d'être dirigée par son mari.
Emmanuelle Seigner : Il a beaucoup de talent, c'est agréable de bosser avec lui. Y a-t-il des réalisateurs avec lesquels vous auriez envie de tourner, un rôle qui vous fait rêver.
Emmanuelle Seigner : Oui, il y en a plein, mais c'est surtout le rôle. C'est difficile pour une femme de trouver un bon rôle. Il y a de bons rôle pour de très jeunes fammes.
Sophie Le Saint : vous choisissez les rôles que vous voulez faire.
Emmanuelle Seigner : C'est le rôle qui me guide puis le éralsiateur.
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