Interview avec Manuel Valls, premier ministre
Il cite le social-démocrate Sigmar Gabriel, actuel ministre de l'Economie, qui s'est dit prêt en juin dernier à assouplir les règles du pacte de stabilité. Ce que Arnaud Montebourg ne précise pas, c'est que Sigmar Gabriel a été recadré par la chancelière allemande et GSÎ revenu SU l' SES propos. Enfin, Arnaud Montebourg s'est montré hier sans appel dans son réquisitoire contre menées aujourd'hui en Europe. ne marchent pas. En plus d'être inefficaces, elles sont injustes.
Sur ce point, l'ancien minsitre a raison. tout dépend des exemples.
David Pujadas : Peut-on continuer sur cette voie.
D. Pujadas: Pouvons nous reprendre.
Manuel Valls: Je pense aux jeunes et aux plus âgés. Nous ne menons pas une politique L'un des atouts de la France, c'est sa démographie. Ça pose parfois des problèmes mais nous avons un démographie positive. Quand nous créons des postes de policiers, nous faisons un choix, lutter contre la délinquance. Nous faisons de l'université un des postes prioritaires. Je suis pour le sérieux budgétaire. Nous ne piuvons pas vivre au dessus de nos moyens. Notre déficit est autour de 4 %. Nosu avons prévu de faire 50 milliards d'économies. Cela n'a jamais été fait. Il y a un débat au niveau européen sur ce déficit.
David Pujadas : Mais l'Allemagne reste inflexible.
Manuel Valls : Les choses sont en train de bouger. Il fautfavoriser l'investissement et la France a des propositions. Le débat est en train de bouger. Le Président sera présent lors de ce débat.
David Pujadas : On est sur une croissance zéro. On ne voit pas les Manuel Valls : L'Allemagne a fait de grands efforts en 2002. Nous devons pour être crédibles faire les efforts et faire bouger les lignes. Il y a une inquétude, la croissance, oui.
David Pujadas : Les chiffres ddu chômage seront négatifs ? Manuel Valls : Ils seront négatifs avec le niveau de croissance que nous Il faut que les choses évoluent en Europe et la parole de la France est entendue.
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