WhatsApp : les groupes, une charge mentale pour beaucoup d'utilisateurs

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Whatsapp : les groupes, une charge mentale pour beaucoup d'utilisateurs
Whatsapp : les groupes, une charge mentale pour beaucoup d'utilisateurs Whatsapp : les groupes, une charge mentale pour beaucoup d'utilisateurs (France 2)
Article rédigé par France 2 - A. Girault-Carlier, C. Sinz, L. Legende-Trousset, Z. Berkous, A. Tribouart, E. Rinjeonneau, E. Noël
France Télévisions
Au petit-déjeuner, dans la rue, jusqu'au soir devant la télévision, les discussions groupées sur WhatsApp nous inondent. Entre les groupes de famille, de bureau, ou encore d'amis, une avalanche de notifications s'abat sur nos smartphones. De quoi frôler parfois l'indigestion.

Les groupes WhatsApp font partie de nos quotidiens. Une mère de famille interrogée dit avoir une trentaine sur son compte. "Il y a tellement de notifications qu'on ne les lit plus", admet une jeune fille qui a "421" messages non ouverts le matin sur son groupe d'étudiants.

"S'affranchir de certaines relations"

Ces groupes représentent une charge mentale pour 40% d'entre nous. Un phénomène dont s'emparent certains humoristes, comme Gad Elmaleh. Marius Noël, étudiant, a lui décidé de quitter un maximum de groupes. Le jeune homme de 21 ans recevait parfois plus de 500 messages par jour. "Je me rends compte que le temps que j'ai libéré à ne plus répondre à des messages est pharamineux", constate-t-il. 

Mais quitter un groupe n'est pas toujours évident, car cela se remarque. Selon Michael Stora, psychologue, il faut savoir l'assumer, car c'est une manière de "s'affranchir de certaines relations de dépendance ou toxiques avec un des parents, qui n'est que relayée par WhatsApp".

Regardez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus.

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