Avec une voiture sans chauffeur, on s'imaginait avoir des problèmes techniques, des accidents, mais pas des problèmes avec la population. En fait, la police locale a relevé des dizaines d'incidents : des jets de pierre, des vitres brisées, des pneus crevés. C'est un problème d'acceptabilité de la technologie. Les fournisseurs mettent sur le marché des produits, mais ne se posent pas la question de la façon dont c'est reçu par les utilisateurs.76% de réfractaires à la voiture autonomeL'intelligence artificielle inquiète et suscite de la défiance. Selon Ipsos, 25% des Français ne veulent pas utiliser de voitures autonomes et 51% se disent pas rassurés par cette technologie. Il faut que les entreprises s'adaptent à l'homme et non l'inverse et qu'il y ait une interaction.