PRESIDENCE A L'UMP - La guerre pour la présidence de l'UMP semble loin d'être finie. Dans le psychodrame, il y aurait les méchants et les gentils, selon Christian Estrosi, soutien de François Fillon. "Je préfère être du côté de ceux qui demandent la transparence", a lancé le député-maire de Nice (Alpes-Maritimes), sur Canal+. Selon lui, la publication des données, réclamée par l'ancien Premier ministre, permettrait à l'opinion publique de "juger elle-même qui se conduit correctement, respecte les statuts, en appelle à la démocratie".Il estime que Jean-François Copé "s'accroche" et lui demande pourquoi il n'accepte pas la présidence par intérim d'Alain Juppé, fondateur du parti. "Si Jean-François Copé est sûr de lui, qu'il l'accepte. Je me demande pourquoi il ne le veut pas."