La dernière étape de la réforme territoriale s'amorce. Il n'y a plus que 13 régions au lieu de 22. Désormais, c'est la bataille des capitales qui fait rage dans l'hexagone. Le verdict est sur le point de tomber et si pour certains territoires, la décision semble évidente, "dans d'autres territoires les négociations sont plus compliquées", note la journaliste de France 2.Les régions qui posent problèmeEn Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon, Toulouse semble devoir l'emporter au détriment de Montpellier. D'autres cas sont en suspens. En Normandie, pour ne mécontenter personne, certains imaginent déjà un partage entre Caen, siège de la préfecture, et Rouen, qui accueillerait le Conseil régional. Le cas de Strasbourg a quant à lui été tranché dans la loi, mais pose encore problème en raison de l'éloignement avec la Champagne. En Franche-Comté-Bourgogne, Dijon pourrait l'emporter sur Besançon. Le choix de ces capitales donnera lieu à une concertation d'ici l'été dans les territoires pour une décision définitive, en 2016.