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Cette année, la Croix-Rouge française organise sa quête sur une semaine complète au lieu d'un simple week-end

Adriana Karembeu, l'ambassadrice de l'association depuis plus de dix ans, a recueilli des dons dans le centre historique de Nîmes, avant de participer à Alès à une chorégraphie lors d'une "flash-mob" (mobilisation éclair) qui a rassemblé plusieurs centaines de personnes, selon l'ONG.
Article rédigé par France2.fr avec AFP
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La collecte annuelle de la Croix-Rouge a débuté le 5 juin

Adriana Karembeu, l'ambassadrice de l'association depuis plus de dix ans, a recueilli des dons dans le centre historique de Nîmes, avant de participer à Alès à une chorégraphie lors d'une "flash-mob" (mobilisation éclair) qui a rassemblé plusieurs centaines de personnes, selon l'ONG.

Pour la première fois, la collecte va durer une semaine
L'an dernier, la quête avait rapporté 3,8 millions d'euros, après 4,3 millions en 2008, "alors que la Croix-Rouge française aurait dû récolter une somme bien supérieure pour faire face à l'intensification sans précédent de la précarité", déplore l'association qui a donc décidé d'organiser pour la première fois la quête sur sept jours, du 5 au 11 juin.

L'idée de la Croix-Rouge française a vu le jour en 1859, sur le champ de bataille de Solférino (Italie), où le Suisse Henry Dunant organisait les secours des soldats blessés, sans distinction de nationalité.

Les premières sociétés nationales de secours, telles qu'il les avait imaginées, ont vu le jour dès 1864, et se sont regroupées en fédération internationale en 1919.

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