Football : le club de Luzenac pourra jouer en L2
Le site est fascinant.
Vertigineuse, dressée vers le ciel, avec en toile de fond le mont Blanc et le glacier des Bossons. A 3.800 m d'altitude, l'Aiguille du Midi est un balcon incomparable.
Il n'y a pas de mots pour décrire. C'est impressionnant. C'est parti pour 20 minutes d'ascension. Premier téléphérique avec une cabine souvent bondée l'été. On vient du monde entier toucher la haute montagne.
Pour la vue, l'altitude, le mont Blanc et un bol d'air frais en été.
La gare intermédiaire et l'Aiguille déjà beaucoup plus proche. Elle domine comme une citadelle. Deuxième téléphérique presque à la verticale. A l'arrivée, un autre monde. En bas, il fait 20 degrés, et ici, tout juste 0.
C'est grandiose et magnifique. On est surpris par l'altitude.
On est plongé dans un autre univers, celui des alpinistes. Ils évoluent tout près, autour de l'éperon rocheux. Deux mondes se croisent : celui des visiteurs d'un jour, très nombreux, et celui des montagnards.
Ça vous tenterait.
Non, pas du tout.
Moi oui, mais je suis marié, et je ne peux pas.
Deux pitons rocheux, une passerelle, des terrasses. A l'intérieur, presque une petite ville, avec restaurant, salles d'exposition et des galeries. Elles ont été creusées il y a plus de 50 ans, Un chantier gigantesque à l'époque. Aujourd'hui encore, des travaux se poursuivent, pour améliorer le cheminement autour de l'Aiguille.
On essaye de mettre la haute montagne à portée de main des gens. On peut toucher le rocher, regarder les alpinistes au-dessus de nous.
Dernier aménagement en date, le "Pas dans le vide". Une cage de verre suspendue, pour éprouver les frissons de l'altitude.
On a peur d'avancer et de tomber dans le vide. C'est super.
Pour ne pas risquer d'abîmer le verre, ce sont les employés qui immortalisent la scène, avec l'appareil des clients.
On évite que les gens fassent tomber un appareil ou une caméra dedans.
Combien de photos par jour.
Enormément.
Comptez tout de même 55 euros l'aller-retour par personne. Il faut s'armer de patience les jours de beau temps.
Un mot de footbaIl : Libération pour le petit club ariégeois de Luzenac. dont le directeur général n'est autre que Fabien Barthez, champion du monde en 98. Luzenac, 700 habitants, devrait bien jouer en Ligue 2 cette saison. La DNCG, le gendarme financier du foot français, a rendu un avis favorable.
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