Florange : François Hollande sur place

Pour contter ces dépenses l'assuance malafdie mise sur les nouvelles techniologies Ce système de GPS empêche de tricher ou de transporter plusieurs patients en meme temps.

L'actualité économique encore, avec ce déplacement symbolique. Il y a quelques mois, les hauts-fourneaux de Florange fermaient définitivement. F. Hollande s'est rendu sur place.

Une poignée de main avec Edouard Martin, le héros du mouvement, comme pour se réconcilier avec les ouvriers de Florange. Pourtant la journée avait mal commencé. Les salaries de Mittal sont refoulés à l'extérieur du site et au passage du convoi présidentiel, des sifflets.

Ils nous a trahis, j'aurais encore préféré qu'il ne vienne pas.

Il a le courage de revenir sur les lieux du crime.

Rien à voir avec le 24 février 2012 où le candidat Hollande s'adressait directement aux salaries de Florange pleins d'espoir. Il promettait une loi pour obliger une entreprise à céder un site rentable. Depuis, il y a eu l'abandon de la nationalisation et la déception des ouvriers.

Vous attendez quoi ? Qu'il y ait un malheur ici ! Nous, on a eu trop de malheur.

Aujourd'hui, F. Hollande a voulu tenir une promesse : revenir en Lorraine.

Il y a eu un malentendu et la moindre des choses est de venir s'en expliquer et pas de se dérober.

L'autre promesse, le loi Florange est actuellement au Parlement. Mais elle sera nettement moins contraignante que prévu. Mais le Président veut surtout parler avenir et énonce un centre de recherche publique sur la sidérurgie à Florange qui ne dépendra pas de Mittal. Edouard Martin applaudit et fait la somme des investissements promis.

562 millions d'euros vont être investis dans les dix ans. Certains disent que c'est de la merde. Eh bien, si c'est de la merde, je veux bien en manger tous les jours.

Une journée à Florange pour faire oublier le passé, le Président s'est engage à y revenir chaque année.