Feuilleton 2/5 : "Le bonheur est dans le chant"
Il n'y aurait plus qu'à signer en appliquant son empreinte digitale sur le Smartphone.
C'est beaucoup plus pratique. On gagnerait du temps.
Si ça peut être traité plus rapidement avec l'assureur, c'est aussi bien.
Avec les photos, on voit exactement ce qu'il faut.
Seuls les accidents matériels pourront être déclarés avec cette application. Aux Pays-Bas, 5 % des constats amiables se font par Smartphone.
Quand je serai grand, peut-être que je serai compositeur de musique.
C'est formidable. de l'école Billancourt, à Boulogne. Avec ses camarades de CP, il retrouve son prof de musique.
Le cours commence avec des vocalises.
C'était pour travailler la voix, surtout pour avoir la pêche quand on va chanter.
C'est si bon.
Le but est de leur faire aimer la musique, de leur donner envie de chanter à plusieurs. est ensemble et quand on chante tous ensemble, s'arrête au même moment. C'est beaucoup de bonheur. Ce sont des vibrations qu'ils ressentent très jeunes déjà.
Quand le jazz est la, la java s'en va et il y a de l'orage dans l'air, il y a de l'eau dans le gaz entre le jazz et la java.
Là, vous ne montez pas assez.
Pour que les enfants chantent juste, Luc monte dans les aigus.
C'est leur registre vocal. Ils peuvent ainsi l'imiter.
Le répertoire de Samuel est très large: de C.Nougaro au rappeur Maître Gims. Nous sommes loin des comptines d'antan.
Vous aurez sans doute reconnu "Pirouette cacahouète". Au violon, Gabrielle Grandière, 93 ans. C'est elle qui a composé cette comptine tant de fois reprise.
Il était un petit homme qui avait une drôle de maison.
Elle l'écrivit pour ses élèves en 1953, quand elle était institutrice.
J'en avais assez de faire chanter des chansons cucul aux petits-enfants. Des chansons qui datent de Louis Je me suis dit que je voulais faire quelque chose de plus moderne et de plus entraînant. Sur une feuille de mon bureau, c'est venu en 10 minutes, un quart d'heure.
Gabrielle a enfin le CD de toutes ses comptines. C'est Agnès, étudiante au Conservatoire, qui les interprète.
Le désir déjà fait briller vos yeux d'un lueur furtive.
Aujourd'hui, Agnès prépare un récital dans la maison familiale du Mans, avec sa soeur Solène au piano.
C'est si doux d'avoir le frisson.
Elle a beaucoup évolué dans les différentes années de sa formation. Par rapport à la voix de petite fille qu'elle avait au début, qui était beaucoup plus cristalline, elle me surprend. Je suis bluffée par sa puissance et tout ce qu'elle peut transmettre par sa voix et sa façon de jouer.
C'est un morceau que j'aime chanter. Il y a cette volupté, ce balancement. C'est un morceau qui est très marrant a jouer aussi. Ne gâchez pas cette minute. Je tremble un peu, ça se conçoit.
Elles auront bientôt devant elles le plus intimidant des publics: les amis et surtout la famille.
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