Cet article date de plus de treize ans.

Ziad Takieddine : "je ne suis pas un vulgaire porteur de mallettes"

Il est soupçonné d'être l'un des principaux protagonistes du volet financier de l'affaire dite de Karachi : l'homme d'affaires franco-libanais Ziad Takieddine s'explique sur France Info.
Article rédigé par franceinfo
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (Radio France © AFP/ Thomas Samson)

Mis en examen il y a quelques jours par le juge Van Ruymbeke pour complicité d'abus de biens sociaux et recel, il affirme n'avoir jamais été payé par la France pour jouer l'intermédiaire avec le Pakistan ou avec l'Arabie Saoudite dans le cadre de la signature de marchés d'armement. Il compte d'ailleurs demander au président Nicolas Sarkozy la levée totale du secret défense dans ces contrats.

Ziad Takieddine se dit profondément blessé par le portrait qui est fait de lui depuis plusieurs mois : il n'est pas un marchand d'armes, pas un porteur de mallettes. Et il n'a pas à rougir des relations, "purement amicales" entretenues avec plusieurs hommes politiques de droite.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.