Retrouvez ici l'intégralité de notre live #ISERE
21h33 : France 2 s'est rendu dans une entreprise qui fabrique des produits chimiques très dangereux : plusieurs mesures de sécurité supplémentaires ont été mises en place depuis l'attaque d'une usine classée Seveso en Isère.
(FRANCE 2)
20h43 : Comme nous le signale le correspondant de France 2 à Lyon Etienne Prigent, l'usine AirProduct de Saint-Quentin Fallavier est de nouveau accessible.
20h33 : Un journaliste du Monde tweete des précisions sur le fameux selfie envoyé par Yassin Salhi, avec la tête de sa victime.
20h30 : Yassin Salhi a commencé à parler aux enquêteurs, après plus d'une journée de silence.
20h20 : Interrogé sur lemonde.fr (article abonnés), le spécialiste du contre-terrorisme Yves Trotignon explique la difficulté de surveiller tous les individus suspects :
"Peut-on détecter des individus qui font attention à leur comportement, à leur usage d'Internet, à ne pas tenir de propos radicaux en public, alors que logiquement les moyens mobilisés concernent la prévention et la détection de personnes prévisibles ? En France, on parle beaucoup de saturation des services : il faut 20 à 25 policiers pour traiter un cas très dangereux en termes de surveillance, d'analyse et de suivi. Si tous les moyens sont utilisés pour la surveillance des menaces détectées, vous reste-t-il des ressources pour travailler sur la détection fine, la lecture des signaux faibles, voire la prévention, comme le faisaient les RG il y a quinze ans en se rendant sur des sites religieux ?"
20h12 : François Hollande va réunir les représentants des deux assemblées mardi à 9 heures, après l'attentat en Isère, annonce l'Elysée.
19h25 : D'après BFM-TV, le selfie de Yassin Salhi envoyé via WhatsApp, serait arrivé sur un téléphone portable en Syrie.
19h19 : Yassin Salhi, l'auteur présumé de l'attentat de Saint-Quentin Fallavier, a habité plusieurs années à Besançon. France 3 Franche-Comté a interrogé les habitants de son quartier. Et même à la mosquée, on ne se souvient pas de lui. " Ce genre de personnes, on ne les accepte pas chez nous", se défend-on.
(FRANCE 3 FRANCHE COMTE)
18h43 : Toujours selon M6, il n'y avait pas de contentieux entre Yassin Salhi et son employeur, Hervé Cornara. D'après l'épouse du chef d'entreprise, les deux hommes se connaissaient seulement depuis mars. Ce qui renforce la thèse de l'attentat et non d'un règlement de comptes.
18h41 : Yassin Salhi, l'auteur présumé de l'attentat en Isère, a envoyé un selfie avec la tête de sa victime via WhatsApp vers un numéro nord-américain, révèle M6. La localisation du contact de Yassin Salhi n'est toutefois pas établie, ce numéro pouvant être un simple relais avant un rebond vers une autre destination.
18h34 : Yassin Salhi a envoyé un selfie avec la tête de sa victime décapitée, d'après un proche du dossier cité par l'AFP.
17h23 : "C'était quelqu'un qui voulait toujours aider les gens. Même s'il y avait un chauffeur qui ne le satisfaisait pas, il faisait tout pour le garder. Il était toujours là. Il rentrait tard à 21 heures, partait le matin à 8 heures, il faisait tout, pour nous, pour lui", confie le fils d'Hervé Cornara, l'homme décapité par le terroriste présumé à Saint-Quentin Fallavier, sur LCI.
17h16 : Une voisine de Yassin Sahli, l'auteur présumé de l'attentat de Saint-Quentin-Fallavier, avait signalé "son soudain changement de comportement", aux gendarmes, en 2013. A l'époque, Yassin Sahli habitait Besançon. Cette voisine s'est inquiétée de visites régulières chez son voisin, qui s'était manifestement radicalisé : "Ils venaient tous les mercredis soir, à partir de 21 heures. Ils étaient quatre ou cinq, toujours les mêmes, mais ils n'étaient pas du quartier et arrivaient toujours un par un. Pour moi, c'étaient des frères musulmans, au crâne rasé et porteurs d'une petite barbe. C'était en 2013. C'est à ce moment-là que j'ai alerté la gendarmerie", confie-t-elle au Parisien.
16h45 : Le député UDI de Seine-et-Marne Yves Jégo qualifie les attentats de Sousse et de Saint-Quentin-Fallavier de "guerre mondiale", sur France 3 Paris Ile-de-France. "La génération d'aujourd'hui n'échappera pas à ce conflit avec Daech sur le terrain. La seule question c'est quand et quelle sera la coalition qui devra aller se battre contre ces fous furieux et ces barbares. Il faut s'y préparer intellectuellement et avoir conscience que nous sommes dans une situation de quasi guerre mondiale qui nous oblige à de l'unité nationale."
(FRANCE 3 PARIS-ILE-DE-FRANCE)
16h35 : La garde à vue de Yassin Salhi, l'auteur présumé de l'attentat de Saint-Quentin-Fallavier, a été prolongée, après 24 heures. Dans les affaires de terrorisme, une garde à vue peut durer jusqu'à 96 heures.
15h35 : Tour d'horizon des dernières informations dont nous disposons :
Yassin Salhi, l'homme accusé d'avoir tenté hier de faire sauter une usine de produits chimiques et de gaz à Saint-Quentin Fallavier refuse toujours de parler aux policiers qui l'interrogent à Lyon. Sa sœur et son épouse sont également en garde à vue.
A l'issue d'un conseil restreint réuni pour la deuxième fois en deux jours par le chef de l'Etat, le ministre de l'Intérieur a annoncé ce midi un renforcement de la surveillance des sites classés Seveso (comme l'usine visée hier), c'est-à-dire fabriquant ou stockant des produits potentiellement dangereux et nécessitant des mesures de sûreté et de sécurité particulières.
A Fontaines-Sur-Saône, des dizaines de personnes ont participé ce matin à un rassemblement en hommage à la victime, Hervé Cornara, 54 ans, devant sa résidence. Un autre rassemblement en hommage à la victime et en soutien aux salariés des entreprises concernées, celle d'Hervé Cornara et l'usine de la société américaine Air Products, cible de l'attentat, a eu lieu à Saint-Quentin Fallavier.
15h22 : Ils veulent "faire front face à la barbarie". Les habitants de Saint-Quentin-Fallavier (Isère) se sont retrouvés ce matin devant leur hôtel de ville pour une minute de silence, avant d'entonner une Marseillaise. Voici les images du rassemblement.
(FRANCE 2 / FRANCE 3)
14h31 : Comment expliquer que l'homme arrêté en Isère après son opération lancée contre la société Air Products, avait fait l'objet d'une surveillance des services français, mais n'était plus surveillé ? "Les services ont du mal à apprécier la dangerosité des suspects", analyse Claude Moniquet, ancien membre de la DGSE. Son interview est à lire ici.

(PHILIPPE DESMAZES / AFP)
14h14 : Au lendemain de l'attentat, Saint-Quentin Fallavier, sous le choc a observé ce matin une minute de silence. Reportage sur place de France 3.
(FRANCE 3 ALPES)
13h46 : "Le gouvernement continuera, face à un haut niveau de menace, à agir sans trêve ni pause", a déclaré ce midi Bernard Cazeneuve, à la sortie du conseil restreint à l'Elysée, au lendemain de l'attentat de Saint-Quentin-Fallavier.
(ELYSEE)
13h10 : Une minute de silence a été observée devant l'hôtel de ville de Saint-Quentin-Fallavier, en Isère, où a eu lieu hier l'attaque contre l'usine Air products. 

(MARIUS BECKER / DPA / AFP)
13h34 : "Nous sommes tous avec Hervé"
Le maire de Fontaines sur-Saône, commune proche de Lyon où résidait la victime de l'attentat commis hier en Isère, a rendu ce matin un vibrant hommage à ce chef d'entreprise de 54 ans. "Nous sommes tous choqués, horrifiés. Nous devons avoir une pensée pour sa famille, son épouse, son fils, sa maman, son frère, ses proches, ses amis", a dit le maire devant quelque 200 habitants, réunis à quelques mètres du domicile d'Hervé Cornara.
13h02 : Où en est l'enquête après l'attaque contre l'usine Air products de Saint-Quentin-Fallavier ? Pour l'instant, Yassin Salhi reste mutique. Un ordinateur et un téléphone saisis. Les enquêteurs s'interrogent désormais sur d'éventuelles complicités. Plus d'infos dans notre article.

(PHILIPPE DESMAZES / AFP)
12h31 : Des images de ce matin : Saint-Quentin-Fallavier, en Isère reste sous haute protection après l'attaque contre le site industriel de la société Air Products par Yassin Salhi.


(PHILIPPE DESMAZES / AFP)
12h25 : Sans ce pompier, l'attaque contre le site industriel de la société Air Products, à Saint-Quentin-Fallavier aurait pu être encore plus grave. Les réseaux sociaux saluent aujourd'hui l'homme qui "a procédé à la mise hors d'état de nuire" de Yassin Salhi. Découvrez notre article consacré à cet hommage.
11h55 : C'est quoi un conseil restreint ?
12h13 : Depuis 45 minutes, un nouveau conseil restreint est réuni à l'Elysée autour du président François Hollande après l'attentat commis la veille dans une usine en Isère, dans lequel un dirigeant d'entreprise a été décapité.
La situation en Tunisie sera également évoquée lors de ce conseil restreint, alors que l'incertitude demeure sur la présence de Français parmi les 38 morts victimes de l'attentat de Sousse.
12h21 : Les ministres concernés arrivent à l'Elysée pour le conseil restreint au lendemain des attentats au lendemain des attentats qui ont endeuillé la France et la Tunisie.
11h00 : "Cela fait un an maintenant qu'est apparue au grand jour l'organisation Etat islamique. Et l'on ne peut que constater qu'il a lancé les 'festivités' de cet anniversaire."
Mathieu Guidère craint que les attaques perpétrées hier en Isère, à Sousse et à Koweït City ne soient le début d'une vague d'attentats lancée par l'organisation jihadiste. Retrouvez ici son analyse.
12h20 : Un nouveau conseil restreint présidé par François Hollande se tiendra à 11 heures à l'Élysée, au lendemain des attentats qui ont endeuillé la France et la Tunisie. Le Premier ministre, Manuel Valls, qui a écourté sa visite en Amérique du Sud, sera présent lors de ce deuxième conseil, qui réunira également les ministres Laurent Fabius (Affaires étrangères), Christiane Taubira (Justice), Jean-Yves Le Drian (Défense) et Bernard Cazeneuve (Intérieur),
09h49 : La société française, dont la résistance est "mise à l'épreuve" par le nouvel attentat"ignoble" et "préoccupant" commis en Isère, doit "être forte sur ses valeurs". Au lendemain de l'attentat de Saint-Quentin-Fallavier, Manuel Valls a accordé un entretien à l'AFP. Le Premier ministre estime que cette attaque "crée une tension forte sur la société française. Qui va être exploitée". Retrouvez ses déclarations ici.