Barack Obama, Justin Trudeau... Les leaders du monde entier rendent hommage aux victimes de l'attaque de Nice
Le président américain a assuré, dans la nuit de jeudi à vendredi, avoir offert à la France l'aide des Etats-Unis "pour enquêter et traduire en justice les responsables" de cette attaque qui a fait au moins 70 morts.
De partout dans le monde, les messages de solidarité commencent à affluer, après l'attaque au camion survenue à Nice (Alpes-Maritimes), jeudi 14 juillet. "Nos pensées et nos prières vont aux familles et aux proches des victimes, et nous souhaitons un rétablissement rapide aux nombreux blessés", écrit Barack Obama dans un communiqué. Le président américain assure avoir demandé à ses équipes de se mettre en relation avec les autorités françaises : "Nous avons offert toute l'aide dont elles auraient besoin pour enquêter et traduire en justice les responsables."
En ce 14-Juillet, nous nous rappelons de la résilience extraordinaire et des valeurs démocratiques qui ont fait de la France une source d'inspiration pour le monde entier. Nous savons que le caractère de la République français perdurera longtemps après [cette tragédie].
>> DIRECT. Attaque au camion à Nice : un nouveau bilan fait état d'au moins 80 morts
Dans un message publié sur Twitter, le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, se dit "bouleversé" par l'attaque. "Tristesse et émotion profondes, écrit le Premier ministre belge, Charles Michel. Toutes mes pensées pour les victimes de cet acte odieux et nos amis français." "Quel acte barbare", réagit Xavier Bettel, le chef du gouvernement luxembourgeois.
Les Canadiens sont bouleversés par l'attentat de ce soir à Nice. Notre sympathie va aux victimes et notre solidarité, au peuple français.
— Justin Trudeau (@JustinTrudeau) 14 juillet 2016
Tristesse et émotion profondes suite aux événements de #Nice06 Toutes mes pensées pour les victimes de cet acte odieux et nos amis français
— Charles Michel (@CharlesMichel) 15 juillet 2016
Quel acte barbare! Solidarité et pensées avec #Nice06 XB
— Bettel Xavier (@Xavier_Bettel) 14 juillet 2016
"Un tragique paradoxe"
Le président du Conseil européen, Donald Tusk, évoque pour sa part un "tragique paradoxe" : "Que les cibles de l’attaque [de Nice] soient les gens qui célébraient liberté, égalité, fraternité."
C’est un tragique paradoxe que les cibles de l’attaque #Nice06 soient les gens qui célébraient liberté, égalité, fraternité
— Donald Tusk (@eucopresident) 15 juillet 2016
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