Des zones d'ombres restent à éclaircir, autour du rapport sur la vidéosurveillance à Nice, lors de l'attentat du 14-juillet. Qui a reçu ce rapport ? Une commissaire de police, numéro 3 de la direction centrale de la sécurité publique et chargée de rédiger les synthèses et non pas un représentant du ministère de l'Intérieur. Que contient le rapport ? Un compte-rendu de trois pages sur ce que montraient les écrans de vidéosurveillance le soir de l'attaque.Des modifications, mais pas de falsificationÀ quoi sert ce rapport ? Avec d'autres rapports émis par d'autres policiers municipaux, ce compte-rendu doit nourrir une synthèse plus globale rédigée dans le cadre de l'enquête par la police nationale. Si une seule phrase du rapport figure mot pour mot sur cette fameuse synthèse, rien ne semble indiquer qu'une falsification du travail de Sandra Bertin ait eu lieu.