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Violences policières : la classe politique réagit après le passage à tabac d'un producteur de musique

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Violences policières : la classe politique réagit après le passage à tabac d'un producteur de musique
Violences policières : la classe politique réagit après le passage à tabac d'un producteur de musique Violences policières : la classe politique réagit après le passage à tabac d'un producteur de musique
Article rédigé par France 2 - J. Nény, J. Assouly, M. Sourd, A. Exposito, R. Mathé, P. Briclot, L. Calvy, A. Da Silva
France Télévisions
France 2

Indignation, colère, appel à la démission… les réactions se sont succédé après une vidéo montrant un homme passé à tabac par la police.

La diffusion d'une vidéo, jeudi 26 novembre, sur laquelle on voit Michel Zecler, producteur de musique, se faire frapper à plusieurs reprises par des policiers, a largement fait réagir au sein de la classe politique. À commencer par l’ancien ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui a réclamé sur Twitter une "tolérance zéro contre le racisme et contre cette violence, qui n'ont pas leur place dans [notre] République". "Ces brebis galeuses doivent être sanctionnés, ces personnes qui commettent des actes odieux et inadmissibles doivent être sanctionnés", a réagi Pierre-Alexandre Anglade, porte-parole du groupe La République en marche à l’Assemblée nationale.

Un article 24 controversé 

À la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon en tête, on réclame la démission du préfet de police de Paris, Didier Lallement. Pour le parti socialiste, l’agression est un argument de plus pour réclamer l’abandon de la loi sur la sécurité globale et l’article 24 très controversé. "Cet article aurait conduit à ce que la police soit entendue et que Michel soit condamné", a réagi Olivier Faure, premier secrétaire du PS. Un article 24 qui continue d’être défendu par les membres des Républicains, et du Rassemblement national.

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