Dès hier, lundi 16 octobre, le policier belge qui avait enregistré la plainte de Louise Lavergne en février 2015 a été suspendu. Les autorités belges ont ainsi reconnu qu'il y avait eu une défaillance, car la plainte aurait dû remonter à la justice. "Le parquet aurait ainsi pu avoir accès aux antécédents du suspect qui était au moment des faits en liberté conditionnelle sous surveillance électronique", explique Charlotte Gillard en direct de Bruxelles.La police a promis de collaborer avec la justiceLa jeune femme serait-elle toujours en vie aujourd'hui si la police n'avait pas commis d'erreur ? C'est la question qui agite l'opinion publique belge qui s'est émue de ce drame. "Pour tenter d'apaiser les esprits, la police de Liège a présenté ses condoléances et ses excuses dans un communiqué et a promis de collaborer avec la justice afin de faire toute la lumière sur ce drame", conclut la journaliste.