L'enquête sur le meurtre de Justine Vayrac, la jeune femme de 20 ans tuée en Corrèze, avance. Un agriculteur de 21 ans a déjà avoué être l'auteur du crime. Lundi 31 octobre, l’autopsie révèle qu’elle est morte étranglée.
L’autopsie a révélé lundi 31 octobre que Justine Vayrac est morte étranglée. Selon les informations de France 2, un lien de type cordelette a été retrouvé autour de son cou. L’autopsie révèle également qu’elle a été frappée à plusieurs reprises, confirmant la première piste des enquêteurs. “Les premières constatations établissent une pluralité de coups au niveau de la face, dont au moins un avec une arme contondante", explique Baptiste Porcher, procureur de la République de Limoges (Haute-Vienne).
La thèse du viol envisagée
Pourtant, durant son interrogatoire, Lucas L., un ouvrier agricole de 21 ans, a affirmé n’avoir donné qu’un coup à la jeune femme provocant sa mort. L’autopsie révèle également que le suspect a eu un rapport sexuel brutal avec la victime, renforçant la thèse du viol. En garde à vue, Lucas L. avait évoqué un rapport sexuel consenti. Les analyses toxicologiques attendues prochainement pourront dire si la jeune femme a été droguée le soir des faits.
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