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Incendies en Gironde : des habitants soulagés peuvent rentrer chez eux

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Après les incendies qui ont sévi en Gironde, certains habitants qui ont été évacués reviennent à leur domicile, vendredi 22 juillet. Pour la plupart des personnes qui ont subi le sinistre, c’est un sentiment de soulagement qui règne. Nicolas Bidard fait un point sur la situation.
Incendies en Gironde : des habitants soulagés peuvent rentrer chez eux Après les incendies qui ont sévi en Gironde, certains habitants qui ont été évacués reviennent à leur domicile, vendredi 22 juillet. Pour la plupart des personnes qui ont subi le sinistre, c’est un sentiment de soulagement qui règne. Nicolas Bidard fait un point sur la situation. (France 3)
Article rédigé par France 3 - J. Vitaline, M. Lavielle, H. Huet,L. Pekez, A. Brignoli, T. Milon, L. Rouvray, N. Bidard
France Télévisions

Après les incendies qui ont sévi en Gironde, certains habitants qui ont été évacués reviennent à leur domicile, vendredi 22 juillet. Pour la plupart des personnes qui ont subi le sinistre, c’est un sentiment de soulagement qui règne. Nicolas Bidard fait un point sur la situation.

L’attente fut longue, mais elle a pris fin vendredi 22 juillet. Certains habitants qui avaient dû fuir leur logement ont enfin pu réintégrer les lieux. "Ça fait du bien de retrouver le jardin et surtout la maison", se satisfait Sarah Sabour qui effectue son retour chez elle. Logées par des amis ou de la famille, les personnes évacuées sont heureuses de pouvoir enfin rentrer. À peine revenus, les sinistrés se chargent de nettoyer leur maison et le jardin qui ont été recouverts de cendre.

Les flammes encore dans toutes les têtes

Bien que le retour dans leur domicile soit une bonne nouvelle, les riverains girondins craignent de devoir à nouveau s’en aller. "J’ai la boule au ventre, vous voyez, il y a les Canadair qui passent. Nos valises, de toute manière, on ne les a pas défaites", s’inquiète Chryslaine Gomez, une habitante de Cabanac-et Villagrains (Gironde). Vendredi 22 juillet, les feux ne sont toujours pas maîtrisés, mais ils ne progressent plus. "Une situation qui s’améliore", annonce le journaliste Nicolas Bidard.

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