Huit mois de prison pour une fausse alerte à la bombe
L'enquête n'aura pas traîné. Les fausses alertes à la bombe, le 30 septembre et le 1er octobre, avaient mis sens dessus dessous la gare Saint-Lazare, à Paris. Un homme a été arrêté lundi matin, chez lui, à Meudon. Il a été confondu par les caméras de vidéosurveillance - il avait téléphoné d'une cabine, au sous-sol de la gare...
Arrêté lundi, jugé aujourd'hui en comparution immédiate : l'homme a été condamné à deux ans de prison, dont huit mois ferme, avec une mise à l'épreuve de trois ans, assortie d'une obligation de soins.
_ Il devra aussi indemniser la SNCF à hauteur de 8.210 euros et la préfecture de police de Paris à hauteur de 3.000 euros.
Le tribunal correctionnel de Paris a globalement suivi le ministère public, qui avait réclamé une peine exemplaire, en raison du climat d'insécurité qui règne en ce moment...
_ L'homme a déclaré avoir agi sous l'emprise de l'alcool.
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