Meurtre de la petite Maëlys

Le principal suspect dans l'affaire de la disparition de la petite Maëlys en août dernier est présenté ce jeudi 30 novembre à trois juges d'instruction. Etienne Prigent est en direct du palais de justice de Grenoble (Isère) où a lieu l'audition.

Alors qu'une partie de la procédure a été annulée à la suite d'un vice de procédure, le suspect numéro un dans l'affaire de la disparition de la petite fille a été présenté jeudi 30 novembre au juge d'instruction.

Le principal suspect, en détention provisoire, est entendu ce jeudi 30 novembre par trois juges d'instruction à Grenoble. C'est son premier interrogatoire depuis sa mise en examen en septembre.

Le principal suspect dans l'enlèvement de la petite Maëlys à Pont-de-Beauvoisin (Isère) va être réentendu par les juges jeudi matin.

Trois mois après la disparition de la petite Maëlys, sa mère a publié sur les réseaux sociaux une vidéo dans laquelle elle témoigne de sa douleur.

Dans le cadre de l'enquête ouverte pour violation du secret de l'instruction, dans l'affaire de la disparition de Maëlys, une dizaine de gendarmes de l'Isère ont été entendus mardi.

Depuis la disparition de sa fille il y a presque trois mois, la maman de Maëlys, infirmière à l'hôpital de Pontarlier (Doubs) n'est pas retournée travailler. Pour l'aider à affronter cette épreuve sans diminuer son salaire, ses collègues se mobilisent pour lui faire dons de jours de RTT.

A l'hôpital de Pontarlier (Doubs), les collègues de Jennifer de Araujo, infirmière et mère de la petite Maëlys disparue à la fin août lors d'un mariage en Isère, ont décidé de la soutenir en lui offrant des RTT afin qu'elle se consacre à sa famille.

Des informations confidentielles publiées dans la presse à propos de la disparition de la petite Maëlys sont l'objet d'une enquête pour violation du secret de l'instruction.

Deux mois après la disparition de la petite Maëlys, l'enquête est au point mort et les relations entre gendarmes et magistrats sont au plus bas.

Une enquête a été ouverte pour violation du secret de l'instruction dans le cadre de la disparition de la petite Maëlys après des fuites dans la presse.

Près de deux mois après la disparition de la petite Maëlys, le parquet de Grenoble ouvre une enquête pour violation du secret de l'instruction, suite à la fuite de multiples informations dans la presse.

Le procureur de la République estime que la gendarmerie est responsable des fuites dans la presse. Le patron de la gendarmerie juge pour sa part "scandaleuses" ces accusations.

Le parquet de Grenoble, qui a ouvert cette enquête, estime que les fuites viennent à la fois du "niveau local et parisien".

Les enquêteurs étudient un cliché pris par une caméra de vidéosurveillance sur lequel apparaîtrait le véhicule du principal suspect dans l'enquête sur la disparition de la fille de 9 ans dans la nuit du 26 au 27 août.

Les enquêteurs, qui poursuivent toujours leurs investigations, auraient en leur possession une photo sur laquelle une silhouette blanche apparaît dans la voiture du suspect numéro un. Explications.

Les enquêteurs ont en leur possession une photographie floue qui pourrait montrer la petite Maëlys à l'heure de sa disparition, rapporte France Bleu Isère, jeudi.

Les parents de la petite Maëlys se sont exprimés pour la première fois le 28 septembre. Leur fille est toujours introuvable. Comment éviter que sa disparition tombe dans l'oubli médiatique ? Franceinfo a interrogé des parents d'enfants disparus.

Selon Christiane L., "s'il y avait eu le moindre doute, moi, je l'aurais ressenti".

Des révélations de ses ex-petites amies, un étrange nettoyage de voiture, des chiens renifleurs intoxiqués... Ces derniers jours ont mis le suspect principal dans une posture délicate, sans pour autant le pousser aux aveux.

Depuis un mois, la petite Maëlys est portée disparue en Isère. Ses parents, jusque-là discrets, ont lancé un appel ce jeudi 28 septembre.

Les parents de la petite Maëlys sortent de leur silence ce jeudi 28 septembre, plus d'un mois après la disparition de leur petite fille de 8 ans.

Les parents ont appelé le suspect, jeudi 28 septembre, à coopérer avec les enquêteurs et à "révéler ce qu'il sait" lors d'une déclaration à la presse, à Lyon.

Josselin Debraux est en direct de Lyon (Rhône). Il revient sur la personnalité du suspect numéro un dans l'affaire de la disparition de la petite Maëlys survenue il y a un mois.

Jeudi 28 septembre, Jennifer et Joachim De Araujo se sont exprimés à Lyon pour la première fois depuis la disparition de leur fille, Maëlys, dans la nuit du 26 au 27 août, lors d'une fête de mariage.

L'enfant de 9 ans a disparu dans la nuit du 26 au 27 août à Pont-de-Beauvoisin (Isère), lors d’un mariage.

Maëlys a disparu il y a un mois lors d’un mariage en Isère. Le principal suspect, Nordahl L., continue à nier toute implication. Mais les enquêteurs, eux, disent accumuler plusieurs éléments troublants. Le point sur l'enquête.

Placé en détention provisoire depuis le 3 septembre, le principal suspect dans l'affaire de la disparition de Maëlys continue de nier toute implication. Les enquêteurs se concentrent sur une station-service.

L'ancien militaire de 34 ans, mis en examen pour "enlèvement et séquestration de mineur de 15 ans", est en détention provisoire. Il clame son innocence malgré les éléments dont disposent les gendarmes. La fillette de 9 ans a disparu pendant un mariage dans la nuit du 26 au 27 août.