Deux chroniqueurs de "Touche pas à mon poste" visés par des canulars
Selon France 2, l'information selon laquelle un homme menaçait de faire sauter une grenade jeudi à Paris est un canular qui visait le chroniqueur télé Bertrand Chameroy.
Une information erronée a provoqué un moment de panique, jeudi 12 mars au matin, dans une rue de Paris. La police a été alertée pour une affaire d'homme armé retranché chez lui. D'après les informations dont disposaient les policiers, le suspect venait de tirer sur sa femme et menaçait de faire sauter une grenade dans son appartement situé dans le 3e arrondissement de la capitale. Des policiers se sont immédiatement rendus sur place.
Finalement, selon des informations de France 2, il s'agissait d'un canular, un "swatting" qui visait Bertrand Chameroy, chroniqueur dans l'émission "Touche pas à mon poste" sur D8. Le swatting est une pratique venue des Etats-Unis qui consiste à signaler un faux crime ou un faux délit chez une personne que l'on souhaite voir être interpellée. Une méthode souvent utilisée par des joueurs de jeux vidéo en ligne voulant se débarrasser d'un adversaire, en piratant ses données personnelles pour obtenir son adresse et utiliser son numéro de téléphone afin d'appeler la police.
Enora Malagré, une autre chroniqueuse de l'émission, a été victime d'une blague tout aussi douteuse mardi 10 mars. La police s'est rendue à son domicile après un prétendu coup de téléphone passé par son compagnon, qui s'accusait d'avoir poignardé l'animatrice. Là encore, il s'agissait d'un canular, comme le raconte Le Parisien. Enora Malagré a rapidement démenti la fausse information et rassuré ses admirateurs, sur Twitter.
Mes chatons, je vais bien, je suis désormais en sécurité, je serai là ce soir dans #TPMP et #EnoraLeSoir. Je vous aime !
— Enora Malagré (@EnoraMofficiel) 10 Mars 2015
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