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Mort de Nahel : la classe politique est divisée au lendemain de nouvelles violences

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Adolescent tué à Nanterre : la classe politique est divisée au lendemain de nouvelles violences
Article rédigé par France 3 - A. Mezmorian, C. Motte, J.Assouly S.Guibout, N.Berthier, B. Geron, P. Bouchetou
France Télévisions
Après de nouvelles violences dans la nuit du mercredi 28 au jeudi 29 juin, deux jours après la mort du jeune Nahel, la gauche demande à revoir les méthodes de la police, tandis qu'à droite, on s'indigne des violences urbaines.

Une cellule interministérielle de crise s’est tenue jeudi 29 juin au matin après une nouvelle nuit de violences. Elles ont été à nouveau condamnées par le président de la République. Des violences qu'Emmanuel Macron a qualifiées "d'injustifiables". La classe politique, dans son ensemble, réagit vivement aux violences à la suite du décès du jeune Nahel. Éric Ciotti a décidé de se concentrer sur l’aspect sécuritaire et demande que l’état d’urgence soit instauré. La gauche enjoint quant à elle le gouvernement à répondre à la souffrance des quartiers.

Emmanuel Macron est parti à Bruxelles

Du côté du Rassemblement national, le soutien aux forces de l’ordre et l’appel au calme lancé par Marine Le Pen la veille sont renouvelés. Après la cellule de crise, Emmanuel Macron est parti au Sommet européen de Bruxelles (Belgique). Pour le moment, le chef de l’État maintient donc son agenda.

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