Entretien avec Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur
Merci d'être avec nous Bernard Cazeneuve. Vos annonces sont très attendues. Les mesures concrètes d'abord.
Julian Bugier : Il est question de la création d'un centre d'appels pour signaler les comportements de radicalisation. Vous le confirmez.
Bernard Cazeneuve : nous allons sur le site du ministère diffuser des informations. Les familles pourraient avoir le moyen de nous informer. Et nous mobuiliserons les préfets.
Bernard Cazeneuve : l'islam de Franxce n'est pas radical Il faut prévenir ces comportements. Ils peufent etre soumis à des messages sectaires. Il faut mobiliser les moyens pour éviter Iebasculement.
Julian Bugier : Quel arsenal pour ceux qui rentrent en France, embrigadés, fanatisés ? Quelles mesures pour les repérer et les neutraliser.
Bernard Cazeneuve : pour ceux qui rentrent, ils seront sous le coup de la Justice. Ils seront sous la coupe de trerroristes.
Julian Bugier : Comment les repérer à leur retour ? Nopus avons des dispositifs qui permettent de les neutraliser. Nous avons perfectionner nos dispositifs. Il faut empêcher les départs. On prend des dispositions pour les personnes majeures. Notres objectif c'est la prévention et démanteler les filières. Il faut bloquer les filières djihadistes.
Julian Bugier : Marine Le Pen dit qu'il faut leur supprimer la nationalité française.
Nous pouvons retirer la nationalité à ces gens-là. Nous avons une réponse qui mobilise plusieurs ministères. Il faut protéger nos frontières, dissuader les gens d'aller en Syrie, La Grande-Bretagne le fait, par exemple, pour les binationaux. Que répondez-vous.
Bernard Cazeneuve : nous le faisons Les conditions doivente être remplies. Il faut que le personne ait acquis la nationalité.
Julian Bugier : Vous ne l'excluez pas ?.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.