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Élections régionales : en Centre-Val de Loire, les quatre candidats souhaitent remobiliser leur électorat

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Élections régionales : en Centre-Val de Loire, les quatre candidats souhaitent remobiliser leur électorat
Élections régionales : en Centre-Val de Loire, les quatre candidats souhaitent remobiliser leur électorat Élections régionales : en Centre-Val de Loire, les quatre candidats souhaitent remobiliser leur électorat (FRANCE 3)
Article rédigé par France 2 - A. Peyrout, G. Marque, E. Marot, S. Gravelaine, France 3 Centre-Val de Loire
France Télévisions

Le second tour des élections régionales se déroulera dimanche 27 juin. En Centre-Val de Loire, quatre têtes de liste sont toujours dans la course. 

En Centre-Val de Loire, quatre têtes de liste sont toujours dans la course pour le second tour des élections régionales du dimanche 27 juin. Comme partout en France, l'abstention était le premier parti dimanche 20 juin, lors du premier tour. Alors, chacun tente de mobiliser son électorat pour le second tour.

Des appels à la jeunesse et aux territoires oubliés 

C'est le cas du président socialiste sortant, François Bonneau, arrivé en tête dimanche. En déplacement au Printemps de Bourges (Cher), celui qui s'est allié aux écologistes a lancé un appel à la jeunesse. L'heure était aussi à l'opération séduction pour le Rassemblement national. Son candidat, Aleksandar Nikolic, pourtant donné en tête dans les sondages, n'est arrivé qu'en deuxième position. Il sillonne alors les petits villages pour tenter de remobiliser, avec son camping-car, les territoires qu'il dit oubliés, mais qui ont surtout oublié de voter. 

Du côté des Républicains, on sort l'artillerie lourde avec la visite de François Baroin. L'objectif de Nicolas Forissier est de rallier les électeurs de centre droit, après le refus de fusionner avec la majorité présidentielle, représentée par le ministre Marc Fesneau. Arrivé quatrième au premier tour, ce dernier était pourtant le meilleur espoir de victoire du parti présidentiel. Mais malgré son score décevant, Marc Fesneau veut croire à une révolution dans les urnes, dimanche 27 juin. 

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