La primaire populaire agite la gauche. L'idée est partie d'une poignée de militants, mais elle rassemble aujourd'hui près d'un demi-million d'inscrits. À la manœuvre, deux militants de la gauche associative, Mathilde Imer et Samuel Grzybowski. Problème : dans une vidéo datant d'octobre mais révélée la semaine dernière, Samuel Grzybowski disait vouloir bloquer certaines candidatures à gauche. Jugement préférentiel sur une plateforme en ligneSept candidats ont été désignés pour participer à ce vote, mais trois n'en veulent pas. Tous seront pourtant soumis à un jugement préférentiel sur une plateforme en ligne. À partir du jeudi 27 janvier et jusqu'à dimanche 30 janvier, les inscrits devront noter chaque candidat. Avec près de 467 000 inscrits, les organisateurs espèrent créer une dynamique derrière le vainqueur. Pour autant, certains doutent qu'elle puisse rassembler la gauche.