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Polémiques sur le "grand remplacement" : "Je déteste cette théorie, je ne suis pas dans la théorie du complot", se défend Valérie Pécresse

La candidate Les Républicains à l'élection présidentielle qu'il y a en France "une immigration incontrôlée, une intégration ratée qui disloque la nation française."

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Radio France
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La candidate LR à la présidentielle Valérie Pécresse lors d'un meeting de campagne à Chartres le 21 février 2022. (GUILLAUME SOUVANT / AFP)

"Je ne suis pas dans la théorie du complot je déteste cette théorie", s'est défendue mardi 22 février sur France Inter, Valérie Pécresse candidate LR à l'élection présidentielle. Elle avait utilisé la théorie complotiste raciste du "grand remplacement" lors de son premier grand meeting de campagne le 13 février au Zénith de Paris. Elle s'était ainsi attiré une pluie de reproches même dans son propre camp.

Si Valérie Pécresse dit réfuter la théorie du grand remplacement, elle tient à défendre ses propositions parce que selon elle "on une immigration incontrôlée, une intégration ratée qui disloque la nation française. Je suis la candidate qui apporte les solutions au pays", a-t-elle rétorqué.

Une "troisième voie" entre LREM et l'extrême-droite

"Emmanuel Macron ne veut pas régler ces problèmes et les extrêmes s'en emparent. Vous voyez bien le piège dans lequel Emmanuel Macron nous met en ne s'occupant de ce problème, il fait monter une France qui se radicalise", a fustigé la candidate LR. "Je suis la candidate qui apporte des solutions. Mon discours au zénith c'était de dire : il y a une 3e voie entre Macron, Le Pen et Zemmour, il y a une voie qui résout vos problèmes."

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