Nouvelle Assemblée nationale : retour sur trois jours de tensions

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Les différents groupes politiques se sont disputés les postes stratégiques de l'Assemblée nationale pendant trois jours, jusqu'à samedi 20 juillet, le tout dans une ambiance particulièrement tendue.
Nouvelle Assemblée nationale : retour sur trois jours de tensions Les différents groupes politiques se sont disputés les postes stratégiques de l'Assemblée nationale pendant trois jours, jusqu'à samedi 20 juillet, le tout dans une ambiance particulièrement tendue. (France 2)
Article rédigé par France 2 - S. Cimino, S. Lysnij, P. Grandouiller, J. Cordier
France Télévisions
Les différents groupes politiques se sont disputés les postes stratégiques de l'Assemblée nationale pendant trois jours, jusqu'à samedi 20 juillet, le tout dans une ambiance particulièrement tendue.

Le 18 juillet, Yaël Braun-Pivet a été réélue présidente de l'Assemblée nationale avec 220 voix après trois tours serrés dans un hémicycle clivé en trois blocs. Elle veut croire le dialogue possible. "Nous devons nous entendre, nous devons coopérer, nous devons être capables de rechercher des compromis", a-t-elle exigé après sa réélection. Du côté du NFP ou du RN, on dénonce une présidence entachée de tractations avec la droite.

De nombreuses tensions

Les trois derniers jours à l'Assemblée nationale ont été marqués par de nombreuses tensions, comme la séquence durant laquelle des députés ne serrent pas la main au benjamin de l'Assemblée, qui est un élu du Rassemblement national. Ou bien dix enveloppes en trop dans l'urne le 19 juillet lors du premier tour des élections pour les postes de vice-présidents. Le lendemain a eu lieu l'élection du président de la Commission des finances à l'Assemblée nationale. Elle est revenue à Éric Coquerel.

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