La journaliste Tania Watine, présente à l’aéroport de Pontoise à Cormeilles-en-Vexin (Val-d'Oise), n’a pas pu embarquer jeudi 10 novembre dans un taxi volant. "Pour l’instant seul le pilote est à bord, et les premiers vols commerciaux avec passagers pourraient être autorisés à partir de 2024", soutient-elle. Mais voir un taxi volant dans les airs n’était pas une première.
Des tests en situation réelle
Les essais techniques ont commencé il y a plusieurs années, mais ils se sont déroulés jeudi en situation presque réelle, l’espace aérien n’ayant pas été préalablement fermé. "Depuis deux ans, Volocopter, le fabricant allemand de ces taxis volants, s’est associé avec les autorités françaises pour faire de cet aérodrome de Pontoise une sorte de base arrière de tests", explique Tania Watine. Un "veliport" a été inauguré d’où les passagers pourront un jour embarquer à bord des véhicules et peut-être survoler Paris d’ici deux années.
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