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Procès de la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge : l'heure est aux réquisitions

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Procès de la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge : l'heure est aux réquisitions
Procès de la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge : l'heure est aux réquisitions Procès de la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge : l'heure est aux réquisitions
Article rédigé par France 3 - S.Neumayer
France Télévisions

Le procès de la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge, en Essonne, de 2013 se poursuit. La journaliste Sophie Neumayer, en direct du tribunal correctionnel d'Évry, mardi 14 juin, apporte des précisions sur le programme de cette journée.

Le procès de la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge (Essonne), qui a fait sept morts en 2013, touche à sa fin. Après les plaidoiries des parties civiles, les réquisitions ont lieu mardi 14 juin. "Une fois levées les questions de procédure de dernière minute et si l'audience n'est pas suspendue, le procureur devrait livrer sa version sur ce qui a conduit au déraillement de Brétigny, et surtout, quels en sont, pour lui, les responsables", rapporte la journaliste Sophie Neumayer, en direct du tribunal correctionnel d'Évry (Essonne). 

Selon la SNCF, un réseau vieillissant n'est pas dangereux

Lors des débats, les trois prévenus, soit la SNCF, SNCF Réseau, anciennement (RFF) et un ancien cadre chargé de la maintenance, "ont tous trois semblé minimiser leur rôle", poursuit la journaliste, qui ajoute : "La SNCF a assuré qu'un réseau vieillissant n'est pas un réseau dangereux. Le déraillement a été causé, selon elle, par un défaut dans l'acier de l'une des pièces du rail, un défaut indétectable selon ses avocats." Les trois prévenus sont poursuivis pour homicides et blessures involontaires. 

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