Grève à la SNCF oblige, le covoiturage se développe
Pour pallier l'absence de trains, chacun sa méthode. Depuis le début de la grève de la SNCF, le covoiturage est devenu la véritable alternative.
Porte d'Orléans à Paris, d'où s'exprime ce lundi 9 avril la journaliste de France 2 Marianne Théoleyre, est un lieu privilégié pour les personnes qui font du covoiturage. Deux hommes attendent pour se rendre à Melun, en Seine-et-Marne. "Il y a très peu de trains a priori. D'habitude, on prend la ligne R du Transilien. La dernière fois, il n'y en avait pas du tout. Le RER D, c'est compliqué parce qu'il n'y en a pas beaucoup non plus et c'est très long. Donc on s'est arrangé avec des collègues vivant sur Paris pour faire du covoiturage", explique l'un des deux salariés.
Boom du covoiturage
Et ce Parisien de continuer : "La première journée de grève à la SNCF, le train, c'était vraiment pénible. Mais maintenant ça va parce qu'on arrive à s'organiser, à trouver des solutions". Le covoiturage est une bonne alternative. Il y a beaucoup de demandes. Grève oblige, ce mode de déplacement est en plein boom.
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