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Surtourisme : ces sites victimes de leur succès

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Surtourisme : ces sites victimes de leur succès
Article rédigé par France 2 - L. Szulewicz, France 3 Régions
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Chaque été, des villes doivent gérer des déferlantes de touristes. C’est le cas à Bruges (Belgique).

À Bruges (Belgique), les rues sont bondées, les terrasses surpeuplées et les bateaux pleins à craquer. Surnommée la Venise du Nord et classée au patrimoine mondial de l’Unesco, Bruges accueille 8 millions de visiteurs par an, pour moins de 120 000 habitants à l’année. Pour les locaux, c’est beaucoup trop. "On atteint une ligne rouge, nous n’avons pas besoin de davantage de touristes, on en a assez, il en faudrait peut-être moins", confie Arnout Goegebuer, habitant de Bruges et architecte.

La France est également touchée par le surtourisme

La ville médiévale cherche la parade à cette surfréquentation et appelle à un tourisme de qualité avec des séjours plus longs notamment. La France est également touchée par le surtourisme, comme à l’Île-de-Bréhat (Côtes-d'Armor) ou sur la Côte d’Azur. Même la montagne est touchée, comme à Chamrousse, en Isère : arbres coupés, feux de camps et déchets abandonnés trahissent le passage de visiteurs de plus en plus nombreux.

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