Réforme des retraites : le gouvernement a "déjà tellement reculé qu’on ne sait même plus ce qu’il reste à négocier", estime Jean-François Copé (LR)
Lundi 6 février, le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, disait que l’adoption de la réforme des retraites poserait un "problème démocratique". "Il a mal lu sa Constitution. On n’est pas dans une dictature, on est dans un État de droit, il y a la souveraineté représentative", explique Jean-François Copé, maire LR de Meaux (Seine-et-Marne), invité des "4 Vérités" de France 2, mardi 7 février.
"Le gouvernement ne se débrouille pas très bien"
Les discussions s’annoncent tendues, alors que le texte arrive à l’Assemblée nationale. "Le gouvernement ne se débrouille pas très bien. Ils ont déjà tellement reculé qu’on ne sait même plus ce qu’il reste à négocier. Il y avait une économie de 17 milliards d’euros au départ qui devait permettre de pérenniser notre système, avec toutes les concessions on est descendu à 10 milliards d’euros, tout cela a de moins en moins de sens", développe le maire de Meaux.
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