Cet article date de plus de deux ans.

Le projet de loi sur le pouvoir d'achat sera présenté le 29 juin en Conseil des ministres

Le texte sera ensuite soumis au Parlement "dans la foulée", a déclaré la porte-parole du gouvernement, Olivia Grégoire.

franceinfo avec AFP

France Télévisions

Publié le 30/05/2022 23:48

Temps de lecture : 1min

La guerre en Ukraine n'est-elle pas un faux prétexte à l'inflation ? Dans la matinée du lundi 4 juillet, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a annoncé qu'il allait intensifier les contrôles de la répression des fraudes, comme l'explique la journaliste Sophie Lanson, présente sur le plateau du 19/20. (ALINE MORCILLO / HANS LUCAS / AFP) — La guerre en Ukraine n'est-elle pas un faux prétexte à l'inflation ? Dans la matinée du lundi 4 juillet, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a annoncé qu'il allait intensifier les contrôles de la répression des fraudes, comme l'explique la journaliste Sophie Lanson, présente sur le plateau du 19/20. (ALINE MORCILLO / HANS LUCAS / AFP)

Le calendrier du projet de loi sur le pouvoir d'achat s'affine. Le texte sera présenté en Conseil des ministres "le 29 juin" puis soumis au Parlement "dans la foulée", a affirmé la porte-parole du gouvernement, Olivia Grégoire, dans une interview au Parisien (article payant) publiée lundi 30 mai.

Dans le détail, le pouvoir d'achat "fera l'objet d'une communication en Conseil des ministres avant les législatives", les 12 et 19 juin, "pour présenter les grandes mesures", a-t-elle affirmé. "Puis un projet de loi et un projet de loi de finances rectificative seront détaillés en Conseil des ministres le 29 juin pour une présentation à l'Assemblée dans la foulée", a-t-elle ajouté.

La porte-parole avait avancé l'idée, le 25 mai, d'un "premier projet de loi (...) adopté en Conseil des ministres avant les élections législatives". Mais le gouvernement avait ensuite rétropédalé. La Première ministre Elisabeth Borne a expliqué vendredi que les premiers textes que les députés auront à examiner seraient destinés à "continuer à contenir cette flambée des prix de l'énergie" avec notamment la prolongation du "bouclier tarifaire" sur les prix du gaz et de l'électricité.