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"Il est vraisemblable qu'il faudra réviser à la baisse la croissance", explique-t-on à l'Elysée, selon les Echos

Motif : la croissance a été nulle au 2e trimestre alors qu'elle avait connu une vive progression (0,9 %) au 1er trimestre. Ce qui nécessiterait plus de 0,7 % chacun des deux prochains trimestres pour tenir l'objectif gouvernemental de 2 % cette année.Dans ce contexte, un certain nombre d'observateurs ne table que sur une croissance de 1,7 %.
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François Fillon et Nicolas Sarkozy à Sablé-sur-Sarthe (Sarthe) le 28 juin 2011 (AFP - PHILIPPE WOJAZER)

Motif : la croissance a été nulle au 2e trimestre alors qu'elle avait connu une vive progression (0,9 %) au 1er trimestre. Ce qui nécessiterait plus de 0,7 % chacun des deux prochains trimestres pour tenir l'objectif gouvernemental de 2 % cette année.

Dans ce contexte, un certain nombre d'observateurs ne table que sur une croissance de 1,7 %.

Le gouvernement va donc devoir faire des économies pour respecter ses engagements auprès de l'UE en matière de dette.

Le président Sarkozy devait recevoir en milieu de journée son premier ministre François Fillon pour "définir le quantum d'économies" à réaliser par les pouvoirs publics dans le budget 2012, précise Les Echos qui cite l'entourage du chef de l'Etat. "Les parlementaires jugent nécessaire de dégager entre 5 et 10 milliards d'euros de plus que prévu", rapporte le journal économique.

Parmi les économies, l'Elysée parle de "regarder au plus juste" les aides aux agriculteurs sur la sécheresse et le budget de la Défense. Mais l'essentiel des mesures portera "sur 2012". En clair, le débat politique ne fait que débuter...

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